Si j'étais capitaliste, je me licencierai
Je gère mal mes émotions,
ce qui me vaut des insomnies depuis 2 nuits.
Je grignote entre les repas
ce qui me vaut de m’interdire
les gâteaux, à ces moments-là.
Si j’étais mon propre employeur,
je me licencierai pour fautes graves.
Mais je ne le suis pas.
Jolie façon de raconter malgré l'inconfort et l'exaspération que cela dévoile.
Une pause semble s'imposer. Même si ce n'est pas évident de le faire au milieu d'un gué.