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Les ptites banalités de Cunégonde

Ha, la culture !

Je me suis retrouvée,
tout un long week-end avec
le téléphone portable d'astreinte du boulot.

Je me suis hâtée de l'éteindre.
Le risque d'avoir un appel était si minime
à la base que je l'ai stoppé net.

Quand le lundi matin,
je l'ai rallumé, il m'a demandé
le code PIN. Bien entendu,
celui-ci ne m'avait pas était donné !

En deux secondes, trois mouvements,
je l'ai grillé. Il me fallait donc le code Puk.

J'appelle le SAV du fournisseur.
J'explique mon souci,
une charmante voix masculine
me demande le numéro de téléphone.
Cette charmante voix me demande si
ce téléphone est bien à monsieur Guy Môquet.

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