Donner, offrir, recevoir

La différence entre donner pour se faire plaisir,
et donner pour faire plaisir.
Le but serait de faire et d’avoir
plaisir dans l’acte de donner.

Pour certains, l’émotion ressentie par l’acte de donner,
et moins importante que celle qu’éprouve celui qui reçoit.
Pour d’autre, c’est le contraire.

Quand nous donnons ne doit-on pas accepter que seul
le plaisir de celui qui reçoit compte ?
Faut-il aussi prendre en compte le plaisir d’offrir ?

Pour offrir doit-on prendre en compte les goûts,
les attentes, les envies, les besoins... de l’autre ?
Il peut en résulter que pour passer à l’action,
Nous devons nous informer sur le receveur.

Est-ce que le fait de donner implique,
Que le retour doit être un dû ?

Commentaires

1. Le mardi 17 août 2010, 14:06 par mirovinben

Dans certaines traditions, le fait de donner assujetti celui qui reçoit et le rend redevable... Ce qui enclenche une escalade dans la valeur du "rendu" du "rendu" (etc) du premier cadeau.

J'avoue avoir eu du mal à me réjouir de certains cadeaux que l'on m'a fait, soit d'un goût heu... qui... bref... soit en m'empêchant d'acquérir un objet du même genre mais aux caractéristiques me convenant mieux (surtout dans le domaine technologique).

Si je sais me faire des cadeaux, j'ai beaucoup de mal à en offrir.

Je préfère donner un coup de main ou un coup à boire, le partage d'un bon moment ou d'un "consommable".

Toute allusion à un demi bien frais ne serait pas fortuite. ;-)

2. Le mardi 17 août 2010, 18:50 par Cunégonde

Je ris non fortuitement aussi.

3. Le mercredi 18 août 2010, 11:41 par imposture

surtout une question de culture ou d'idiosyncrasie, pas de règles universelles, je pense.

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