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Les ptites banalités de Cunégonde

Je voudrais juste savoir

Comment vont les personnes
qui lisent mon blog.

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7 commentaires

  • Anthom, samedi 14 novembre 2015 à 07:40 :

    Pas très bien ce matin! Avec un goût de cendre dans la bouche. Nous devions partir assez tôt pour aller au Salon des Carnets de voyage à Clermont avec ma sœur. Nous avons décidé d’un commun accord de ne pas y aller. Pas le goût à flâner, à regarder , tête pas disponible!
    Cette nuit, j’ai trouvé très difficile de n’avoir personne auprès de moi avec qui partager…

  • mirovinben, samedi 14 novembre 2015 à 07:45 :

    Je découvre à l’instant et suis sidéré.

    Continuer comme de si rien était ? Refermer les volets et aller au fond de ma grotte ? Attendre, prier (qui ?) et filtrer lémédia dont je crains l’emballement.

  • Charlottine, samedi 14 novembre 2015 à 07:55 :

    Sidérée (et le mot est faible) , glacée, les larmes au bord des yeux, ce matin en apprenant l’ampleur de ces attaques sur Paris; un peu égoïstement rassurée d’avoir mon fils habituellement parisien près de nous pour quelques jours de congé.

  • K, samedi 14 novembre 2015 à 08:14 :

    Nous allons comme nous pouvons.
    Hébétés.
    Notre fille aînée prof à Paris nous a rassurés à 0h14, on savait qu’en principe elle n’était pas à Paris-même, mais bon les initiatives ou plans de dernière minute ça existe…
    Comme Mirovinbin, filtrage soigneux, télé et radio fermées.

  • Franck, samedi 14 novembre 2015 à 08:53 :

    Tout ceux que je connais et qui sont ou étaient dans les parages vont bien.

    Je t’embrasse.

  • Gilsoub, samedi 14 novembre 2015 à 10:37 :

    Ici on va bien de corp, pour l’âme c’est autrement… Triste, très triste…
    Mais la vie continue…

  • Cunégonde, samedi 14 novembre 2015 à 13:34 :

    Mon neveu est crétin. Il a cru qu’il n’avait pas à donner de nouvelles. Mon dernier message lui disait que s’il n’avait pas donné de nouvelles à 13h. J’appelais le numéro pour signaler un disparu. Là, il a compris que l’on s’inquiétait.
    Merde quand il se passe ça. On rassure ses proches. À la mort de mon frère, mes sœurs m’ont dit qu’elles avaient peur quand il se oassait quelque chose à Paris.

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