Dodine
Je ne suis pas sûre d’aimer ça.
Un filet de canard, par exemple,
pour moi, c’est un magret,
saignant avec de pommes de terre sarladaises,
ou juste une salade.
Pas de chichi.
Je ne suis pas sûre d’aimer ça.
Un filet de canard, par exemple,
pour moi, c’est un magret,
saignant avec de pommes de terre sarladaises,
ou juste une salade.
Pas de chichi.
Bon, et voilà que je mets un “s” à outil alors qu’il n’y en a qu’un… Gloups.
Moi, je ne savais pas que c’était un outil concernant le vin.
Suite à ton billet et un commentaire chez moi, je découvre qu’il y a deux sens… Effet secondaire et très intéressant du “366 alphabétiques”
J’aime particulièrement ton “pas de chichi”.
C’est parce qu’en cuisine comme en photographie, je trouve que les fioritures tuent la simplicité. De plus elles sont souvent là pour masquer un défaut ou empêcher une banale simplicité qui met mal à l’aise qui cuisine ou qui a fait la photo.
En cuisine, les fioritures sont la première différence que j’ai constatée entre la gastronomie française et la gastronomie japonaise.
Là-bas, le goût de chaque élément doit être et reste identifiable (même si j’avais parfois du mal à l’identifier faute d’avoir appris à le connaître avant). Point de ragoût mijotés longuement et de sauces sophistiquées comme chez nous mais une simplicité apparente et un grand respect du produit.
Tendance que semblent d’ailleurs proposer les émissions culinaires qui prolifèrent à la télé.
Heu… et moi qui croyais qu’une dodine était un outils utilisé dans le processus de l’élevage du vin en tonneau, permettant de remettre en suspension les lies lors du bâtonnage…