Tous les jours, on meurt, un peu.
Quand on perd quelqu'un
que l'on a aimé (d'amour ou d'amitié),
on perd un bout de nous même.
Quand on perd quelqu'un
que l'on a aimé (d'amour ou d'amitié),
on perd un bout de nous même.
Mouais, mais on ne choisit pas le résultat du bilan. Je crois que s'il est trop négatif, la peine est moins lourde.
On perd un bout de nous même tout en ayant acquis auparavant de belles choses venant de ce quelqu'un. J'aimerais assez qu'à chaque fois le bilan soit positif. Malgré tout, malgré ce déchirement.