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Les ptites banalités de Cunégonde

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7 commentaires

  • C&C, lundi 26 mars 2012 à 14:41 :

    Qui perd gagne, donc. Ouais, mais en même temps on ne cherche pas à gagner pour se former... Faut vraiment être motivé à apprendre pour vouloir perdre.

  • mirovinben, lundi 26 mars 2012 à 15:56 :

    Je préfère gagner ma vie que de la perdre.
    Sinon, je crois comme toi que les échecs sont formateurs...

  • Plume, lundi 26 mars 2012 à 20:22 :

    Ouais... et la mort c'est le diplôme.

    Je préfère perdre à gagner que gagner à perdre.

    Voir le fameux "pari de Pascal", qui me fait grimper aux murs (la vie égale rien !)

  • C&C, lundi 26 mars 2012 à 21:51 :

    Dans une dissertation de français, j'ai dit que le pari de Pascal était la carotte qui faisait avancer les ânes. La phrase était certainement mal tournée; la prof a mis dans la marge: «il a vraiment dit ça?». Je m'en souviens encore car je crois que ma note a été sauvée grâce au doute que j'ai mis dans l'esprit de la prof. ben oui, impossible de mettre une sale note à Pascal, et surout impossible de vérifier ce que je disais, y'avait pas goût gueule...

  • Cunégonde, lundi 26 mars 2012 à 21:52 :

    Plume, en même temps la mort est la seule certitude que l'on puisse avoir. Je trouve cela rassurant d'une certaine façon.
    Mirovinben, et C&C, je suis sûre que vous pouvez mieux faire.

  • mirovinben, mardi 27 mars 2012 à 09:48 :

    Cunégonde, considères-tu mon commentaire précédent comme un échec ? Ais-je perdu ton estime ? Provisoirement je l'espère car c'est formateur... Forcément. Formateur en quoi ? J'hésite encore.

    M'dame, j'ai gagné ? En tout cas je suis content d'avoir casé les 4 mots clés.

    "Content de lui à bon compte", disait mon instit de CM1.

  • Cunégonde, mardi 27 mars 2012 à 16:24 :

    Vous me faites rire tous les deux.

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