Les ptites banalités de Cunégonde

Commentaires

1. Le vendredi 20 mai 2011, 13:13 par mirovinben

Le plus délicat dans ce genre de fait-divers est de déterminer qui a commencé la "parade sexuelle". Sachant que le décodage (oui ? non ? faut voir ?) demande beaucoup de finesse, le partage d'un même référentiel et, surtout, une maîtrise suffisante des pulsions pour ne pas passer outre un refus, même timide.

2. Le vendredi 20 mai 2011, 17:56 par imposture

pourquoi? parce que c'est plus facile d'avoir un avis sur ça que sur l'utilisation des logements vacants qui pourraient servir à abriter tous les sdf, pardi!

parce qu'il est plus facile de spéculer sur du vide que d'expliquer les raisons du chômage et les façons d'en sortir, pardi!

parce que c'est plus facile de juger un cas dont on ne sait rien que de comprendre pourquoi le fmi se jette sur les proies faciles irlande, grèce, portugal et cela sans même supputer l'allégorie que représente ce sordide récit médiatique...

3. Le vendredi 20 mai 2011, 20:38 par Cunégonde

J'aime bien vos façons de voir. Pour ma part. Je trouve déplacé la couverture médiatique de cet évènement, je ne veux pas dire qu'il n'est pas grave bien au contraire mais une telle utilisation des médias est choquante.

4. Le dimanche 22 mai 2011, 21:01 par Jean-Michel

… dans ta première phrase, tu voulais dire "pour" et non "par" ?

En fait, je pense que ces réflexions d'un autre temps sont dues à la non-acception d'une possible réalité.

As-tu lu cet article du journal "Le Monde" ?

Je crois qu'une des autres choses les plus choquantes dans cette histoire est le fait que les médias posent une question mais tournent en boucle des images qui illustrent la question qu'ils semble désapprouver ?

Paradoxale système ?

5. Le lundi 23 mai 2011, 08:10 par Cunégonde

Oui, Jean-Michel, il n'est pas rare que j'écrive un mot pour un autre.
Cette histoire montre aussi notre évolution, heureusement qu'il existe des mouvements féministes pour contrecarrer l'image que nous renvoyons.

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