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Les ptites banalités de Cunégonde

Non, c'est pas des mensonges...

au mieux c'est:
-> une amélioration de la réalité
-> une défaillance de la communication
-> une interprétation de la vérité.

Je suis toujours très étonnée,
face à une personne prise
en flagrant délit de mensonge,
de l'énergie qu'elle est capable de déployer
pour expliquer que ce n'en est pas un.

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4 commentaires

  • imposture, jeudi 10 décembre 2009 à 12:48 :

    une con­tre-vérité, une non-vérité, un malen­tendu, une approxi­ma­tion, une affir­ma­tion en-des­sous de la vérité… le bai­ser de judas, ça me con­nait rsrsrs! mais je ne devrais pas le dire, y’a des gens qui regar­dent.

  • mirovinben, jeudi 10 décembre 2009 à 13:45 :

    Avouer/recon­naî­tre son pro­pre men­songe signi­fie très sou­vent se remet­tre en cause, avouer une fai­blesse et per­dre la face. Ce qui, même en dehors du Japon, est quel­que chose de quasi incon­ce­va­ble.

    D’autant que le fait d’avoir menti sur quel­que chose dévoile une fêlure, une faille, un abîme par rap­port au fait/situa­tion qui a amené au dit men­songe.

  • Ed, jeudi 10 décembre 2009 à 17:08 :

    Je ne mens que par omis­sion. Comme ça, au pire, je peux dire les cho­ses, juste un peu trop tard.
    Mais mon chef d’éta­blis­se­ment ment effron­té­ment et sans se démon­ter. Mais là, on va la coin­cer !

  • Cunégonde, jeudi 10 décembre 2009 à 21:40 :

    Les rares fois ou je mens ça se voit comme mon nez au milieu de la figure.
    Miro­vin­ben,j’aime bien ta façon de voir les cho­ses.

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