Les ptites banalités de Cunégonde

Je vais voir une expo à la galerie
Fille du calvaire.
Je commence par me tromper de lieu.
Une porte trop tôt.
J’ai apprécié ce bâtiment.
Rien compris à ce que l’artiste
a voulu exprimer.
Je rentre dans la bonne galerie.
L’expo que j’étais vu voir
n’était plus au mur
J’ai aimé les portraits de la peintre.
Je suis restée imperméable à la photographe.
La cour d’un immeuble
a attiré ma curiosité.
Au fond, la galerie Perrotin.
Je suis entrée parce que
l’immeuble me plaisait.
Les mobiles de Heinz Mack m’ont
fasciné, eux, les ombres et la lumière qui
se reflétaient sur les murs.
Un objet m’a impressionné,
un escalier en acier brossé,
simple a en être beau.